Photo © Etienne Frossard. Toutes les images sont une gracieuseté de l’artiste, partagées avec permission.
Travaillant avec les vestiges en lambeaux de la culture de consommation, l’artiste Tamara Kostianovsky (précédemment) nous demande de remettre en question les origines, le processus et les résultats désastreux de notre désir apparemment inextinguible d’acheter et de gaspiller. Quatre corpus distincts de l’œuvre de l’artiste s’étalant sur quinze ans ont été rassemblés à Smack Mellon à DUMBO, Brooklyn pour former Entre les blessures et les plis. L’écosystème textile des carcasses de vaches abritant une nouvelle vie, des coupes transversales d’arbres aux couleurs vives et des oiseaux de proie colorés, est construit à partir de tissus recyclés et de textiles mis au rebut. Dans cet état final, les pièces molles fonctionnent comme un écho de leurs débuts cachés. Smack Mellon partage dans un communiqué :
Par une alternance de douceur et d’agressivité, ses installations identifient les nuances de violence qui existent entre une rencontre personnelle et sa normalisation sur le plan social et écologique. Le travail de Kostianovsky demande une réimagination des modèles de droits humains et de rédemption environnementale afin de considérer la violence qui en résulte comme faisant partie d’un système plus large et indissociable.
Entre les blessures et les plis est visible jusqu’au 31 octobre et vous pouvez explorer davantage le travail de l’artiste basé à Brooklyn sur Instagram.
Photo © JC Cancedda
Photo © Roni Mocan
Photo © Etienne Frossard
Photo © JC Cancedda
Photo © Etienne Frossard
Photo © JC Cancedda
Photo © JC Cancedda
Photo © JC Cancedda
L’artiste dans son atelier © JC Cancedda
















































